Il est raconté qu'il y a longtemps de cela, une femme était tellement belle qu'elle attirée le désir de tout homme qui poser ses yeux sur elle. Cette femme devint arrogante et proclama qu'elle était encore plus belle que la déesse locale. Outrée d'une telle proclamation, la déesse maudit la femme et la transforma en une méduse telle qu'on les connaît aujourd'hui, un être qui pétrifie tous ceux qui posent leurs yeux sur elle. Ses descendant partagent maintenant cette malédiction, et de temps en temps, une méduse fait son apparition dans une lignée. Bien que ce lignage octroie une jeunesse éternelle et des pouvoirs magiques, il porte aussi le risque de se voir transformer en ce monstre de légende.

Au niveau 1, vous gardez l'apparence que vous aviez une fois l'âge adulte atteint et vous ne semblez plus vieillir jusqu'à ce que votre heure soit venue.

La puissance de votre malédiction se manifeste au travers de vos yeux. Au niveau 1, au prix d'une action, vous pouvez fixer une créature de votre regard et la forcer à faire un jet de sauvegarde de Constitution contre le DD de vos sorts ou se retrouver Entravé pendant 1 tour.

Vous pouvez utiliser cette capacité un nombre de fois égal à 1 + votre modificateur de Charisme, après quoi il vous faudra terminer un repos long pour récupérer ces utilisations.

Au niveau 6, lorsque vous lancez un sort, vous pouvez dépenser 2 points de magie pour ajouter 1d4 à votre DD.

Au niveau 14, vous commencez à prendre les caractéristiques physiques d'une méduse : vos cheveux prennent une teinte verdâtre et votre peau se grise. Si vous dépensez 3 points de magie, votre Regard Maudit pétrifie la créature au lieu de l'entraver. Frotter une mèche de vos cheveux sur une créature pétrifiée permet de lui redonner vie.

Au niveau 18, vous ressemblez de plus en plus à une méduse. Des écailles recouvrent votre peau et vos cheveux se transforment en petits serpents. Lorsqu'une créature réussit un jet de sauvegarde contre un de vos sorts, vous pouvez dépenser 4 points de magie pour la forcer à relancer son jet. Le second jet profite également de l'avantage ou du désavantage que le premier avait.